Porte de Rezé
LOIRE-ATLANTIQUE, 44
Maître d’ouvrage : Nantes Métropole
Maîtrise d’œuvre : AUP (architecte urbaniste), atelier 360° (paysage), Egis (VRD)
Mission : Maitrise d’œuvre complète
Période de réalisation : 2017-2019
Montant prévisionnel : 5 300 000€/HT
Une réponse urbaine à une problématique d’infrastructure
Les espaces publics qui composent la Porte de Rezé sont de caractère routier, peu accueillants. Les codes et motifs dessinant l’espace public sont de l’ordre du routier et limite dans son dimensionnement l’apaisement recherché d’un espace public devant accepter les modes doux et qualifier l’entrée dans l’urbain.
Le projet repose sur une recomposition du paysage dans sa continuité écologique et support d’un apaisement des modes de déplacement. Le végétal compose, structure, l’espace public dans une continuité de la forêt urbaine émergente des dépendances vertes du périphérique.
Ces grandes masses viennent soutenir la trame d’usages dans son épaisseur sur une séquence unique et compensent la dilution des superstructures bâties.
L’accompagnement des masses structurantes (strate moyenne) est plus divers dans sa composition et anime tout au long de l’année les perspectives en termes de floraison et de feuillage. La strate arborée s’inscrit de manière aléatoire en cadrage de la séquence et de la bande de roulement. Elle conforte l’espace mode doux tout en donnant repères et dynamique pour les usagers motorisés.
Porte de Rezé
LOIRE-ATLANTIQUE, 44
Maître d’ouvrage : Nantes Métropole
Maîtrise d’œuvre : AUP (architecte urbaniste), atelier 360° (paysage), Egis (VRD)
Mission : Maitrise d’œuvre complète
Période de réalisation : 2017-2019
Montant prévisionnel : 5 300 000€/HT
Une réponse urbaine à une problématique d’infrastructure
Les espaces publics qui composent la Porte de Rezé sont de caractère routier, peu accueillants. Les codes et motifs dessinant l’espace public sont de l’ordre du routier et limite dans son dimensionnement l’apaisement recherché d’un espace public devant accepter les modes doux et qualifier l’entrée dans l’urbain.
Le projet repose sur une recomposition du paysage dans sa continuité écologique et support d’un apaisement des modes de déplacement. Le végétal compose, structure, l’espace public dans une continuité de la forêt urbaine émergente des dépendances vertes du périphérique.
Ces grandes masses viennent soutenir la trame d’usages dans son épaisseur sur une séquence unique et compensent la dilution des superstructures bâties.
L’accompagnement des masses structurantes (strate moyenne) est plus divers dans sa composition et anime tout au long de l’année les perspectives en termes de floraison et de feuillage. La strate arborée s’inscrit de manière aléatoire en cadrage de la séquence et de la bande de roulement. Elle conforte l’espace mode doux tout en donnant repères et dynamique pour les usagers motorisés.