On se trouve aujourd’hui face à des espaces construits par les flux et donc peu propices à la contemplation, la déambulation… Aller vers un espace public apaisé, un espace du ralentir où l’on peut se poser ponctuellement va nécessiter des remises en question de l’occupation actuelle.

Le projet s’appuie ainsi sur les bases suivantes :

• plus de nature : que ce soit pour la lutte contre les îlots de chaleur, la biodiversité et la création d’espaces propices au repos, le végétal, un nouveau rapport au sol font partie des éléments de programme à rechercher… Pas nécessairement à travers de grands gestes, la biodiversité se situe également dans les micro-espaces
• reconsidérer la place de la voiture, pour retrouver d’autres usages
• mettre en scène le rapport aux pépites : Dobrée, le musée d’histoire naturelle sont autant de dialogue privilégié à construire qui vont enrichir l’espace public, son vécu, l’expérience promenade urbaine